Malgré les bourses d’études, l’indemnité de logement et les autres supports publics, il est difficile pour un étudiant de gagner sa vie. C’est surtout le cas pour les élèves qui habitent loin de sa famille. Pour compenser ce manque, le prêt étudiant est une solution à portée de main.
Puisqu’il s’agit d’argent, des conditions sont imposées. Il est obligatoire de respecter ses règles pour obtenir un prêt étudiant. La banque propose cette alternative pour les jeunes de 18 à 25 ans. Cette fourchette d’âge est posée par respect de la loi. De plus, demander un prêt nécessite un certain niveau de maturité pour assurer le système de remboursement. À part l’âge, l’étudiant doit faire partie d’une faculté d’étude supérieure. Que cet élève suive une branche dans une grande école, une université ou un BTS, la caution parentale ou du tuteur est obligatoire pour le prêt étudiant. Une assurance-décès-invalidité est exigée par de nombreuses banques proposant ce prêt étudiant.
Puisque le concept du prêt étudiant est de permettre à un élève de joindre les deux bouts pendant ses années d’études supérieures, le remboursement se fait après son parcours universitaire. Ce système commence dès la « période de franchise » ou « différé de remboursement ». C’est la phase où l’étudiant devient employé d’une entreprise et peut payer ses dettes efficacement. De cette manière, il aura un soupçon de stabilité financière donc peut rembourser petit à petit son prêt. Pour faciliter l’acquittement, la banque propose une durée identique aux années de cours de l’emprunteur. Parfois même, une marge de date est posée pour permettre au futur salarié de gérer son salaire librement. L’usurier a le choix entre deux types de paiements.
– Le différé partiel
Dans le concept du différé partiel, l’ex-étudiant ne rembourse que la cotisation d’assurance et les intérêts du prêt.
– Le différé total
On parle de différé total lorsque le prêteur, ancien étudiant, rembourse uniquement l’assurance.